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ON
S'EST CONNU COMME ÇA
Paroles
et musique de Jean-Claude Chesneau
Arrangements Alexandre Turbé
C’est arrivé un soir dans une rue déserte,
Tu m’avais demandé si par hasard j’avais
du feu,
Je n’t’ai pas remarqué, j’ai
dis oui de la tête,
Je me suis retourné en m’approchant un peu.
Sous la lueur blafarde d’un lointain réverbère,
Tu t’en es allée, disparaissant dans l’ombre,
Je garde le souvenir de tes grands yeux verts,
Et d’un sourire caché par une mêche
blonde.
Regarde moi, regarde moi
Il y a bien longtemps on s’est connu comme ça
Comme le soleil illumine le ciel
Je garde de toi un parfum irréel.
J’ai souvent recherché cette
ombre de la nuit
Silhouette furtive au beau visage d’ange,
Comme l’eau dans un mirage comme un souffle de
vie
Tu m’as touché au cœur dans cet instant étrange.
Je deviens ton esclave, je suis ton prisonnier,
Prisonnier de ce rêve impossible d’amour,
Le bruits de tes talons sur les pavés mouillés,
Résonnent dans ma tête comme un bruit de
tambour.
Regarde moi, regarde moi,
Il y a bien longtemps on s’est connu comme ça,
Comme le soleil illumine le ciel,
Je garde de toi un parfum irréel.
Je me suis demandé malgré mon désespoir,
Si j’allais retrouver ce visage angélique,
Je me suis demandé si j’allais te revoir,
Adorable vision, créature nostalqique.
Malgré le temps qui passe et qui n’en
finit pas,
Je t’espère et te cherche et voudrais
te revoir
Malqré le temps qui passe au rythme de tes pas,
Tu restes là vivante au fond de ma mémoire,
Regarde moi, regarde moi
Il y a bien longtemps on s’est connu comme ça
Comme le soleil illumine le ciel
Je garde de toi un parfum irréel.
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